Au Royaume Uni, de nombreux projets utilisant le saule, le miscanthus et le peuplier comme source énergétique, voient le jour. L’intérêt principal de ces technologies est qu’elles sont neutres du point de vue de l’empreinte carbonne. Le dioxyde de carbone émis lors de leur combustion est compensé par plantations venant les remplacer. Pour résoudre la problématique du coût du stockage et du transport de cette nouvelle énergie, et réduire l’impact environnemental lié à la putréfaction, le professeur Jenny Jones et ses équipes de l'Université de Leeds ont mis au point un nouveau processus de conservation qui consiste à torréfier la matière végétale.
Le projet est financé par le génie et sciences physiques Research Council et réalisé en collaboration avec Alstom Power, Drax Power, EON et RWE npower.
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